par Claire Morin | 30 octobre 2020
La présente démarche avait pour but de dresser un portrait régional afin :
- d’évaluer les besoins en main-d’œuvre et en machinerie permettant de réaliser la récolte projetée;
- de cibler d’éventuels problèmes qui risquent de compromettre l’atteinte des volumes de récolte attendus;
- d’établir les besoins de formation du personnel des entreprises;
- de recueillir les pistes de solutions envisagées par les entreprises;
- de soumettre des recommandations aux donneurs d’ouvrage et aux entreprises.
Un sondage auprès d’une quarantaine d’entreprises qui ont récolté 80 % des volumes mis en marché par le Syndicat des producteurs forestiers du sud du Québec (SPFSQ) pour la région de l’Estrie au cours de l’année financière 2014 a été réalisé. La compilation des questionnaires devait permettre de déterminer les besoins de main-d’œuvre et d’équipements et, par la suite, d’élaborer une stratégie d’intervention basée sur les pistes de solutions qui auront été proposées.
par Claire Morin | 30 octobre 2020
Le Gouvernement du Québec a instauré au cours des 50 dernières années de nombreuses mesures incitatives visant à favoriser la réalisation de travaux sylvicoles en vue d’accroître les bénéfices de cette activité pour les communautés rurales. Le gouvernement souhaite notamment que les bois de la forêt privée contribuent à l’approvisionnement de l’industrie forestière québécoise. C’est ainsi que de nombreux investissements sylvicoles ont été réalisés en partenariat avec les propriétaires de boisés, l’industrie forestière et le gouvernement. Parallèlement, la conciliation des différents usages du territoire forestier a entraîné la complexification des règlements balisant les activités de récolte de bois réalisés en forêt privée en vertu des pouvoirs conférés par la Loi sur l’aménagement et l’urbanisme. Cette réglementation est principalement adoptée par les MRC et les municipalités. Le présent guide fournit de l’information technique au personnel des MRC et des municipalités, laquelle les aidera à rédiger ou à réviser leurs règlements sur l’abattage d’arbres et la protection du couvert forestier.
par Marie-Claude Boileau | 30 octobre 2020
En 1995, les partenaires de la forêt privée convenaient de créer des agences régionales de mise en valeur des forêts privées et reconnaissaient aux agences la responsabilité d’exercer une dizaine de fonctions. Ces fonctions devaient être assumées dans une perspective où les agences devaient demeurer des structures légères. Pour ce faire, la réalisation des mandats devait être confiée à des tiers, de préférence à des organismes déjà actifs en forêt privée. Le sommet est le résultat d’une entreprise conjointe de quatre partenaires : les propriétaires de lots boisés, le monde municipal, l’industrie forestière et le Gouvernement du Québec. Le document fait état des travaux et décisions de cette rencontre.
par Marie-Claude Boileau | 30 octobre 2020
En mai 1995 se tenait le Sommet sur la forêt privée. Cette rencontre et les suites qui lui ont été données constituent l’entreprise conjointe de quatre partenaires : les propriétaires de lots boisés, représentés par la Fédération des producteurs de bois du Québec et le Regroupement des sociétés d’aménagement forestier du Québec, le monde municipal, représenté par l’Union des municipalités du Québec et l’Union des municipalités régionales de comté et municipalités locales du Québec, l’industrie forestière, représentée par l’Association des industries forestières du Québec et l’Association des manufacturiers de bois de sciage du Québec et, enfin, le Gouvernement du Québec, représenté par le ministère des Ressources naturelles. Le présent document fait la synthèse de la rencontre des décideurs de 1998 et collige les décisions qui y ont été prises. Il comporte six annexes, dont l’annexe I, qui établit le plan des mesures à prendre pour donner suite à cette rencontre.
par Claire Morin | 30 octobre 2020
Le présent document fait état des décisions prises lors de la rencontre des partenaires de la forêt privée de 2006 dans une perspective illustrant le contexte de ces décisions. Il comporte trois sections : le rappel de certains faits saillants, les décisions prises et le plan d’action pour assurer la mise en œuvre de celui-ci. Il comporte également deux annexes concernant le fonctionnement des agences et trois appendices.