par Claire Morin | 7 octobre 2020
Paru dans Progrès forestier, automne 2019: 32-35
De nombreux résultats de recherche permettent maintenant d’évaluer le risque de mortalité des arbres après une coupe de jardinage dans une érablière ou une bétulaie jaune à résineux. Cet article propose des critères simples et pratiques pour identifier les arbres les plus susceptibles de mourir, aux fins de l’inventaire et du martelage en préparation d’une coupe partielle.
par Claire Morin | 7 octobre 2020
Avis de recherche forestière no139
La régénération préétablie joue un rôle prépondérant pour maintenir l’épinette rouge au sein des bétulaies jaunes résineuses. Or, peu d’information est disponible sur la survie, l’acclimatation et le développement de cette régénération à la suite d’interventions sylvicoles. Des études écophysiologiques ont donc été entreprises afin de suivre l’évolution de la basse régénération d’épinette rouge à la suite de coupes partielles uniformes. Les résultats obtenus 20 ans après ces coupes ont été toutefois peu rassurants : mortalité, dépérissement et faible croissance.
par André Boily | 2 octobre 2020
Visite de la pépinière forestière de Grandes-Piles et de plantations expérimentales effectuée le 23 août 2019 dans le cadre de la Conférence de l’Association canadienne de génétique forestière 2019, 19 au 23 août 2019, Lac-Delage, QC. Guide. Gouvernement du Québec, ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs, Direction de la recherche forestière. 29 p.
par Marie-Claude Boileau | 2 octobre 2020
La Direction de la gestion de la faune de l’Estrie, de Montréal, de la Montérégie et de Laval, avec la collaboration de la Direction de la gestion de la faune de la Capitale-Nationale–Chaudière-Appalaches, a réalisé un inventaire aérien de l’orignal dans la zone de chasse 4 à l’hiver 2019. Cet inventaire s’est déroulé du 28 janvier au 23 février 2019 et avait pour objectif de déterminer la taille de la population hivernale d’orignaux et les principaux paramètres démographiques des effectifs.
par Marie-Claude Boileau | 22 septembre 2020
L’équipe de la Direction de la gestion de la faune de Lanaudière et des Laurentides du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs (MFFP) a réalisé une première étude de la population d’ombles de fontaine du lac Ekka, en 2015. L’objectif était de confirmer si cette population était allopatrique, vérifier son état de santé, vérifier la qualité de son habitat et de convenir des modalités de pêche à privilégier pour conserver cette population.
Les travaux réalisés ont confirmé que le lac Ekka abrite une population allopatrique d’omble de fontaine. Son abondance est très élevée. Les paramètres physicochimiques du lac sont globalement adéquats pour l’omble de fontaine, bien que l’oxygène et la température soient limitants à certaines profondeurs et que l’acidité du lac soit élevée. La structure d’âge présente plusieurs cohortes, dont de vieux individus. Le nombre et la taille des femelles reproductrices n’est pas problématique. Beaucoup d’indicateurs montrent des signes d’une population en santé. Le niveau d’exploitation actuel devra être conservé pour les années à venir, mais sera à surveiller étant donné qu’un indicateur (mortalité) montre que la population d’ombles de fontaine est près d’être classée comme étant nouvellement surexploitée.