par Audrey Verreault | 28 juillet 2020
Paru dans Canadian Journal of Forest Research 18: 733-738
Il est reconnu qu’en régression, le retour à l’échelle originale après la transformation logarithmique comporte un biais. Le présent article analyse, d’une part, trois méthodes de correction du biais pour l’estimation ponctuelle de la moyenne et, d’autre part, quatre méthodes de correction du biais pour l’estimation par intervalle de la moyenne et fournit des précisions concernant la prévision par intervalle d’une nouvelle observation. Une discussion sur l’utilisation des méthodes analysées est également présentée.
par Audrey Verreault | 28 juillet 2020
Paru dans Canadian Journal of Forest Research 18: 739-744
Les résultats généraux sur la distribution asymptotique des estimateurs et les hypothèses requises afin d’en assurer la validité sont énoncés dans le cadre de la régression non linéaire. Un modèle non linéaire, fréquemment utilisé en foresterie pour décrire les relations qui existent entre les diverses caractéristiques dendrométriques de l’arbre ou du peuplement, illustre l’application de ces résultats. Enfin, l’inférence statistique reliée au modèle non linéaire est démontrée au moyen d’un exemple numérique constitué d’un échantillon de 622 épinettes noires.
par André Boily | 28 juillet 2020
Paru dans Le Naturaliste Canadien 116: 61-68
Les variations diurnes du potentiel hydrique du xylème (yx) de plants d’épinette noire [Picea mariana (Mill.) B.S.P.] irrigués et asséchés, ont été mesurées pendant la saison de croissance 1986 à la pépinière de Normandin, Québec (48°45’N., 72°30’O.). Les valeurs horaires des variables météorologiques utilisées pour le calcul de l’évapotranspiration potentielle (ETo) ont également été enregistrées. Pour chacune des trois journées étudiées, la radiation nette (Rn) et ETo se sont avérées être les variables les mieux corrélées à yx, avec des coefficients de détermination (R2) variant de 0,83 à 0,97. Cependant, lorsque toutes les valeurs journalières ont été regroupées ensemble, le R2 du modèle non-linéaire de prédiction de yx, en fonction de ETo a chuté à 0,79 mais a été amélioré a 0,87 en tenant compte du potentiel hydrique de base des plants qui est mesuré juste avant l’aube. Les plants qui ont subi un stress hydrique artificiel ont eu des croissances en hauteur et en biomasse diminuées pendant la saison de croissance 1986 et le nombre moyen de feuilles sur leur pousse terminale de 1987 a été plus faible que chez les plants irrigués. Les résultats de cette étude suggèrent que la prédiction de I’évolution du stress hydrique en pépinière et la planification du programme d’irrigation qui en découle, seraient réalisables à partir des données du statut hydrique du sol et de la demande évaporative de l’atmosphère.
par Marie-Claude Boileau | 28 juillet 2020
La série des guides des stations forestières comprend 22 documents qui présentent les différentes stations forestières d’un territoire donné, soit une ou plusieurs régions écologiques. Ces territoires sont les mêmes que la série des guides de reconnaissance des types écologiques. Une station forestière est une unité typologique qui sert à la planification forestière et qui regroupe les types écologiques qui sont similaires en matière de productivité potentielle, de dynamique et de contraintes sylvicoles, de sorte qu’il est possible d’appliquer les mêmes scénarios sylvicoles à un peuplement appartenant à l’un ou l’autre de ces types. Dans chaque guide, les stations forestières sont présentées et décrites en termes de superficie, de distribution, de productivité, de potentiel forestier et de contraintes sylvicoles.
par Marie-Claude Boileau | 28 juillet 2020
La série des guides des stations forestières comprend 22 documents qui présentent les différentes stations forestières d’un territoire donné, soit une ou plusieurs régions écologiques. Ces territoires sont les mêmes que la série des guides de reconnaissance des types écologiques. Une station forestière est une unité typologique qui sert à la planification forestière et qui regroupe les types écologiques qui sont similaires en matière de productivité potentielle, de dynamique et de contraintes sylvicoles, de sorte qu’il est possible d’appliquer les mêmes scénarios sylvicoles à un peuplement appartenant à l’un ou l’autre de ces types. Dans chaque guide, les stations forestières sont présentées et décrites en termes de superficie, de distribution, de productivité, de potentiel forestier et de contraintes sylvicoles.