par Marie-Claude Boileau | 26 mai 2020
Depuis le 1er avril 2017, il est interdit d’utiliser et de posséder des poissons appâts vivants en saison hivernale. Par conséquent, plusieurs adeptes de la pêche sur la glace doivent adapter leur pratique. Afin de répondre à leurs interrogations, une étude a été réalisée à l’hiver 2018. Le projet avait pour but de cibler les meilleures méthodes de pêche autres que celle des poissons appâts vivants pour la capture du doré et de la perchaude en saison hivernale. Les résultats obtenus dans le cadre de cette étude confirment l’efficacité de plusieurs méthodes de pêche en saison hivernale pour la capture du doré et de la perchaude.
par Marie-Claude Boileau | 26 mai 2020
Paru dans Le Naturaliste canadien 126(1): 45-52
par Marie-Claude Boileau | 26 mai 2020
Dans le cadre du suivi des aménagements de l’habitat de la gélinotte huppée dans un secteur de la réserve faunique de Portneuf, un réseau de chasseurs volontaires a été mis en place en 2002 afin de mesurer trois indicateurs de suivi relatifs à la récolte sportive. Le premier indicateur est le nombre de gélinottes huppées levées par heure de chasse, le deuxième est le succès de chasse (nombre d’oiseaux abattus par heure de chasse) et le troisième est la proportion de juvéniles par femelle adulte dans la récolte. Les membres du réseau devaient consacrer une journée de chasse en octobre dans le secteur aménagé et dans les deux secteurs témoins (total : trois jours de chasse).
Le taux de participation des chasseurs inscrits au réseau en début de saison a augmenté en 2017 et 2018 par rapport à 2016. Le nombre de gélinottes huppées vues par heure de chasse par les membres du réseau a été de 0,60 oiseau/heure de chasse en 2017 et 0,54 en 2018. Le succès de chasse a été de 0,27 oiseau/heure de chasse en 2017 et de 0,24 en 2018. Le nombre de juvéniles par femelle adulte dans la récolte a été de 5,5 en 2017 et de 7,3 en 2018, ce qui démontre une bonne survie des perdreaux pour les deux dernières années.
par Claire Morin | 22 mai 2020
Avis de recherche forestière n° 137
La régénération préétablie d’épinettes blanches est plutôt rare dans les bétulaies jaunes résineuses dégradées et la diminution de la proportion de cette espèce qui en résulte est préoccupante. Dans le contexte des changements globaux, elle aura potentiellement un effet néfaste sur la résilience de ces écosystèmes forestiers face aux futures perturbations naturelles et anthropiques. La plantation d’enrichissement, jumelée à des traitements sylvicoles de réhabilitation (différents types de scarifiage et de coupe avec réserve d’arbres semenciers), pourrait-elle combler ce manque de régénération et permettre de maintenir l’épinette blanche?
par Marie-Claude Boileau | 22 mai 2020
Avis de recherche forestière n° 11
La Direction de la recherche forestière du MRNF vient de dresser un portrait de la dynamique contemporaine des forêts du Québec Méridional. Les constats sont surprenants et les recommandations éclairées! On s’aperçoit notamment que le premier responsable des changements de composition forestière observés aux cours des dernières décennies ne serait pas celui que l’on croyait.