À la suite de la nomination du nouveau conseil des ministres, le Secteur des forêts relève désormais du ministère des Ressources naturelles et des Forêts alors que les secteurs de la faune et des parcs relèvent du ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs. Les ajustements requis seront apportés progressivement au site Web.

Comparaison des traitements de récolte effectués dans les régions 06 et 07 par l’entreprise « Lauzon-Planchers de bois exclusifs inc. » avec les simulations de traitements génériques CP35_40cm et CP45_40cm

Avis technique SSRF-7

L’utilisation de nouvelles modalités de récolte des arbres en forêt de feuillus constitue un défi pour leur simulation par les modèles de croissance existants. Cet avis technique présente des algorithmes permettant de simuler les coupes de jardinage, les coupes de jardinage par groupes d’arbres, les coupes progressives irrégulières à couvert permanent et à régénération lente, telles que pratiquées selon les recommandations du CIMOTFF (Comité sur l’impact des modalités opérationnelles des traitements en forêt feuillue).

Travaux de recherche sur le saumon des rivières Saint-Jean et de la Trinité en 2008

Données du suivi historique des deux rivières témoins pour le saumon atlantique au Québec, soit les rivières Saint-Jean et de la Trinité. Depuis le début des années 1980, on estime la dévalaison des smolts, on dénombre les saumons adultes en montaison, on recueille des données sur les caractéristiques des smolts et des adultes, on évalue les taux de survie en rivière et taux de retour de la mer et on compile les données d’exploitation.

Modèle de répartition spatiale du dindon sauvage au Québec : présentation d’une méthode et de son application

Ce document a été préparé à l’aide du logiciel MaxEnt, qui produit des modèles statistiques permettant de prédire la probabilité de présence d’une espèce à partir des seules données de présence. Les données des sites d’abattage du dindon sauvage fournies par les chasseurs et quatre variables environnementales ont été utilisées afin de produire deux modèles, l’un pour la rive sud du fleuve Saint-Laurent, l’autre pour la rive nord