par André Boily | 30 janvier 2019
Rapport du Gouvernement du Québec, ministère des Ressources naturelles, Direction de la recherche forestière, Herbier du Québec. 27 p.
Le projet d’agrandissement du parc national de la Pointe-Taillon vise à ajouter au territoire actuel un groupe d’îles et des portions de rives situées dans le secteur de la Petite Décharge et de la Grande Décharge, près d’Alma au lac Saint-Jean. Dans ce contexte, la Sépaq a mandaté le botaniste du ministère des Ressources naturelles pour documenter la flore vasculaire d’une partie significative des îles et des rives, dans le but d’identifier les éléments d’intérêt en vue d’élaborer un zonage préliminaire applicable au nouveau territoire du parc. Quatre cent vingt-deux taxons de plantes vasculaires ont été recensés, appartenant à 86 familles. Les espèces indigènes représentent 88 % de la flore. Le nombre d’espèces introduites est beaucoup plus faible sur les îles (16) que sur la terre ferme (49), ce qui témoigne de leur intégrité écologique. Cinq espèces susceptibles d’être désignées menacées et vulnérables sont présentes dans les secteurs situés sur la terre ferme (Arethusa bulbosa, Calypso bulbosa, Cypripedium reginae, Galearis rotundifolia et Hudsonia tomentosa). Les îles abritent deux espèces considérées comme des reliques de la transgression marine postglaciaire (Ammophila breviligulata et Lathyrus japonicus). D’autres espèces atteignent sur ces îles la limite nord de leur répartition au Québec.
par Marie-Claude Boileau | 30 janvier 2019
Fiche d’aide à la décision DAEF2-067-F-07. Gouvernement du Québec, ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs, Direction de l’aménagement et de l’environnement forestiers et Direction de la recherche forestière. 4 p.
par Svetlana Savin | 30 janvier 2019
Avis de recherche forestière n° 51
Nous avons expérimenté la sylviculture par trouées et la plantation d’enrichissement dans les forêts mixtes du Québec. Cinq ans après la mise en terre, la survie, la hauteur et le diamètre des plants d’épinette blanche dans les plus petites trouées (0,05 ha) étaient comparables ou supérieurs à ceux des plants dans les trouées plus grandes (0,25, 0,50 et 1 ha). Des trouées de 0,05 ha seraient donc à privilégier dans un contexte d’aménagement écosystémique, puisque leur taille se situe dans la gamme de variabilité naturelle des trouées créées lors de perturbations dans ce type de peuplement.
par Marie-Claude Boileau | 30 janvier 2019
Avis technique n° SSRF-06
Le Comité sur l’impact des modalités opérationnelles des traitements en forêt feuillue (CIMOTFF) a présenté des résultats qui viennent changer certains paradigmes de la sylviculture des peuplements feuillus au Québec. Cependant, une partie de ces résultats était basée sur des simulations de croissance effectuées avec SaMARE 2006, tandis que les calculs de possibilité forestière sont effectués avec le simulateur Artémis, lequel simule des rotations plus longues que SaMARE. Les simulations du CIMOTFF ont été reprises avec Artémis 2009 et Artémis 2014. Même si SaMARE prédit un meilleur accroissement que les 2 versions d’Artémis, ce constat n’a pas d’impact sur les principales recommandations du CIMOTFF.
par equipewp | 30 janvier 2019
Le document présente les résultats d’un inventaire de l’ours noir (Ursus americanus) réalisé en 2013 dans la sapinière à bouleau jaune en Mauricie.