À la suite de la nomination du nouveau conseil des ministres, le Secteur des forêts relève désormais du ministère des Ressources naturelles et des Forêts alors que les secteurs de la faune et des parcs relèvent du ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs. Les ajustements requis seront apportés progressivement au site Web.

État de situation du touladi au lac Lynch : Bilan des inventaires de 1995 à 2018

La gestion des populations de touladis (truite grise) au Québec est balisée par un plan de gestion depuis 2014. Depuis 2002, seuls les poissons ayant des tailles de plus de 55 cm peuvent être conservés au lac Lynch, et ce, afin d’assurer la reproduction de l’espèce. Dans l’objectif de suivre l’état de santé de la population de touladis au lac Lynch, le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP) y réalise des inventaires normalisés régulièrement. Le dernier inventaire a été réalisé dans la semaine du 5 septembre 2018 par la pose de 16 filets maillants dans l’habitat du touladi. Les inventaires précédents ont été réalisés dans les semaines du 8 août 1995, 18 septembre 2006 et 10 septembre 2013. Ce bilan a pour but de présenter les principaux résultats de ces inventaires et les tendances qui s’en dégagent.

État de situation du touladi au lac Dumont : Bilan des inventaires de 1993 à 2021

La gestion des populations de touladis (truite grise) au Québec est balisée par un plan de gestion depuis 2014[1]. La pêche hivernale à toutes les espèces est d’ailleurs interdite depuis l’entrée en vigueur de ce plan de gestion. Depuis 2002, seuls les poissons de plus de 55 cm peuvent être conservés au lac Dumont, et ce, afin d’assurer la reproduction de l’espèce. Dans l’objectif de suivre l’état de santé de la population de touladis au lac Dumont, le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP) y réalise des inventaires normalisés[2] sur une base régulière. Le dernier inventaire a été réalisé du 20 au 24 septembre 2021 par la pose de 18 filets maillants dans l’habitat du touladi. Ce bilan a pour but de présenter les principaux résultats de cet inventaire et les tendances qui s’en dégagent.

[1] Plan de gestion du touladi 2014-2024

[2] Guide de normalisation des méthodes d’inventaire ichtyologique en eaux intérieures – Tome 1 – Acquisition de données

Régime alimentaire des poissons capturés dans le cadre du Réseau de suivi ichtyologique du fleuve Saint-Laurent – Secteur du lac Saint-François en 2022

Les contenus stomacaux examinés dans le cadre de ce rapport proviennent des poissons prélevés durant le Réseau de suivi ichtyologique du fleuve Saint-Laurent (RSI). Cet ouvrage fait état des résultats obtenus lors de la campagne d’échantillonnage réalisée en 2022 dans le lac Saint-François. Un total de 684 contenus stomacaux ont été examinés chez 6 espèces de poissons : le grand brochet (Esox lucius), le maskinongé (Esox masquinongy), l’achigan à petite bouche (Micropterus dolomieu), l’achigan à grande bouche (Micropterus salmoides), la perchaude (Perca flavescens) et le doré jaune (Sander vitreus).

Objectifs de protection et de mise en valeur des ressources du milieu forestier

Les objectifs de protection et de mise en valeur (OPMV) des ressources du milieu forestier ont été définis à la suite d’une vaste consultation publique menée en 2003 par le Ministère auprès d’organismes nationaux et régionaux ainsi que des communautés autochtones. Ils ont été remplacés en 2013 par l’approche de l’aménagement écosystémique.

Pour aider les titulaires d’un permis d’intervention en forêt publique à intégrer les OPMV dans les plans généraux d’aménagement forestier, le Ministère avait rendu accessibles les documents ci-dessous, classés en fonction des critères québécois de l’aménagement durable et des OPMV.

Résultats du sondage sur une nouvelle structure de gestion de la chasse en milieu périurbain au Saguenay–Lac-Saint-Jean

La question de l’appropriation du territoire public pendant la chasse à l’orignal fait l’objet de nombreux débats. Cette problématique s’amplifie d’année en année avec la popularité croissante de la chasse à l’orignal. Ce phénomène est présent notamment dans la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean, où le nombre d’adeptes dépasse maintenant 30 000 personnes. Depuis 2015, des partenaires du milieu ont tenté de trouver des solutions afin de pallier cette appropriation du territoire public qui contrevient à l’esprit des articles 1.3 et 1.4 de la Loi sur la conservation et la mise en valeur de la faune (LCMVF). Des rencontres avec les MRC ont permis de définir les différentes options au statu quo, y compris l’implantation potentielle d’une nouvelle structure de gestion sur le territoire libre du milieu périurbain qui permettrait une meilleure répartition des territoires de chasse. Pour faire suite à cette idée, la Direction régionale de la gestion de la faune du Saguenay–Lac-Saint-Jean du ministère des Forêts de la Faune et des Parcs (MFFP) a voulu, par un sondage, vérifier l’acceptabilité sociale du projet sur un territoire potentiel spécifique et récolter les données requises pour procéder à une analyse économique.