par Audrey Verreault | 30 janvier 2019
Avis de recherche forestière n° 10
Si l’on vous offrait la possibilité de planter des arbres qui ont un rendement trois, quatre et même six fois plus élevé que celui de la forêt naturelle, seriez-vous preneur? C’est un secret bien gardé que la Direction de la recherche forestière (MRNF) a développé au cours des quarante dernières années des arbres génétiquement améliorés. Aujourd’hui, plus de cent millions de ces arres son mis en terra annuellement, ce qui représente la superficie équivalente à plus de la moitié de l’Île de Montréal! Et le plus beau dans tout cela, c’est que ce prodige se fait sans avoir recours aux manipulations génétiques.
par Marie-Claude Boileau | 30 janvier 2019
Avis de recherche forestière n° 9
Une analyse critique de la littérature scientifique réalisée à la Direction de la recherche forestière (DRF) a révélé l’importance des caractéristiques physiologiques et écologiques de l’épinette rouge. Celles-ci ne sont d’ailleurs pas étrangères au phénomène de raréfaction de cette espèce au sein des forêts québécoises sous aménagement forestier. Des conclusions étonnantes ressortent et expliquent pourquoi la sylviculture de cette espèce est complexe.
par André Boily | 30 janvier 2019
Paru dans Histoires forestières du Québec 2(2) : 20-25. Des travaux effectués par des chercheurs de la Direction de la recherche forestière du ministère des Ressources naturelles et de la Faune montrent que le chaulage favorise la régénération de l’érable à sucre et améliore la vigueur des arbres à maturité. À ce jour, le chaulage demeure l’outil sylvicole le plus prometteur pour maintenir la représentativité de cette essence dans les érablières situées sur des stations acides et peu fertiles.
par equipewp | 30 janvier 2019
L’inventaire aérien a permis d’estimer la densité d’orignaux sur le territoire de la réserve faunique ainsi que déterminer la structure et la productivité de cette population à l’hiver 2010.
par equipewp | 30 janvier 2019
La simulation de population (logiciel Riskman, version 1.9.003) a été utilisée pour comparer différents scénarios d’exploitation de l’orignal sur les terres de la Seigneurie de Beaupré. L’exercice a démontré que le meilleur moyen pour réduire la population d’orignaux serait de récolter un pourcentage de femelles adultes supérieur à 50 % annuellement. Dans une moindre mesure, l’augmentation du nombre d’orignaux récoltés annuellement pourrait contribuer à réduire la population, mais seulement si le pourcentage de femelles adultes de la récolte varie entre 15 et 25 %.