Le peuplier hybride au Québec : histoire, évolution, avenir! – 1re partie
Paru dans Progrès forestier. 181(Juin) : 4 p.
À la suite de la nomination du nouveau conseil des ministres, le Secteur des forêts relève désormais du ministère des Ressources naturelles et des Forêts alors que les secteurs de la faune et des parcs relèvent du ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs. Les ajustements requis seront apportés progressivement au site Web.
Paru dans Progrès forestier. 181(Juin) : 4 p.
Ce plan d’intervention concerne quatre espèces de salamandres de ruisseaux : la salamandre sombre des montagnes, la salamandre sombre du Nord, la salamandre pourpre et la salamandre à deux lignes. Les principales menaces qui pèsent sur ces espèces sont : l’abaissement de la nappe phréatique suite à des travaux de captage d’eaux de surface et souterraines, ainsi que les modifications d’habitats causées par des activités telles la villégiature et l’exploitation forestière. Les 44 actions qui ont été identifiées par l’équipe de rétablissement sont axées principalement sur la protection d’habitats, l’acquisition de connaissances et la sensibilisation.
Mémoire de recherche forestière n° 161
La structure d’âges et la composition des paysages forestiers naturels, observées avant l’influence anthropique, sont des attributs clés qui servent de références dans le cadre d’un aménagement écosystémique (AÉ). Afin d’identifier les enjeux écologiques et d’élaborer des cibles d’aménagement écosystémique, le ministère des Ressources naturelles et de la Faune a conçu un registre des états de référence, où sont consignées la structure d’âges (c’est-à-dire l’abondance relative de différentes classes d’âges) et la composition des paysages forestiers naturels. Cette information est présentée pour 17 unités homogènes (UH) de végétation couvrant l’ensemble du Québec méridional. Les structures d’âges ont été déterminées à partir de modélisations basées sur l’information actuellement disponible, concernant les taux de perturbations naturelles dans les différentes régions du Québec. La composition des couverts forestiers naturels a été déterminée à partir d’informations provenant des cartes écoforestières du 1er inventaire décennal (≈ 1970) ou d’inventaires plus anciens (≈ 1900-1930), selon l’historique d’aménagement du territoire.
Les résultats indiquent que le feu est la perturbation ayant le plus d’impact sur la structure d’âges en forêt naturelle. Les intervalles de retour moyens des feux répertoriés pour le Québec méridional varient entre 150 et 1 000 ans. Les épidémies de la tordeuse des bourgeons de l’épinette ont surtout un impact important au sein des forêts des domaines de la sapinière. Les chablis sévères ont un impact négligeable sur la structure d’âges des paysages. Dans l’ensemble des 17 UH du Québec méridional, les vieux peuplements occupent toujours plus de 48 % de la superficie, tandis que les peuplements en régénération n’occupent jamais plus de 13 % du territoire. Les 11 UH où l’intervalle de retour des feux est long (≥ 250 ans) présentent une forte abondance de vieilles forêts (≥ 63 %), combinée à une faible abondance de forêts en régénération (≤ 8 %). En terme de composition, les UH des domaines de la pessière à mousses et de la sapinière à bouleau blanc sont dominées par les couverts résineux. Les couverts mélangés dominent habituellement le domaine de la sapinière à bouleau jaune. Pour l’instant, la composition de quatre UH localisées dans les domaines de la sapinière à bouleau blanc (n = 2) et des érablières (n = 2) n’a pu être déterminée, en raison d’un manque d’informations. Des recherches supplémentaires doivent être mises de l’avant afin de préciser le portrait des forêts naturelles, particulièrement dans la zone tempérée du Québec.
Le protocole de pêche expérimentale à l’omble de fontaine a été révisé dans le cadre de l’exercice de normalisation des méthodes d’inventaire ichtyologique du Ministère des Ressources naturelles et de la Faune. Une analyse statistique sur 235 stations de pêche expérimentale a permis de mieux définir l’habitat préférentiel de l’omble de fontaine au Québec.
Par ce document, Faune Québec veut amorcer une réflexion permettant d’identifier les principaux enjeux de conservation, de restauration et de
mise en valeur de la faune et de ses habitats en milieu agricole.