par equipewp | 30 janvier 2019
Résumé d’une conférence présentée lors du Forum de transfert sur l’aménagement et l’environnement forestiers. 6 avril 2006. Québec, Canada. 6 p.
par equipewp | 30 janvier 2019
Ce document dresse le portrait de la situation de la buse à épaulettes, un espèce d’oiseau de proie, habitant les forêts feuillues et mélangées du sud du Québec. Il présente la biologie de l’espèce, l’état des populations ainsi que les menaces qui affectent sa survie.
par Svetlana Savin | 30 janvier 2019
Rapport – Université du Québec à Chicoutimi, Consortium de recherche sur la forêt boréale commerciale
Au sein du domaine bioclimatique de la pessière noire à mousses et de la sapinière à bouleau blanc de la forêt boréale commerciale du Québec, on retrouve des formations ouvertes d’étendue variable où la composition végétale se compare à celle rencontrée dans le domaine bioclimatique de la pessière à lichens. Ces milieux ouverts sur stations sèches, souvent appelés dénudés secs (DS), sont caractérisés par un couvert arborescent inférieur à 25 % principalement composé d’épinette noire (Picea mariana [Mill.] B.S.P.), parfois accompagné de pin gris (Pinus banksiana Lamb.). La faible densité du couvert arborescent de ces milieux serait plus liée à l’historique des perturbations des sites qu’à une capacité de support jugée trop faible. En fait, elle proviendrait plus d’une succession de perturbations naturelles menant à un déficit de régénération. Ramener ces sites à leur densité arborescente initiale par différentes approches sylvicoles pourrait donc s’avérer intéressant.
Les objectifs du présent projet sont de tester la réponse de croissance de plants d’épinette noire en fonction de différentes préparations de terrain (taupe et scarifiage) et de deux gabarits de plants (126-25 et 67-50) en utilisant des plantations effectuées dans des pessières à mousses (PM) récoltées et scarifiées à titre de témoins.
Pour les parcelles scarifiées, les taux de survie demeurent, dans tous les cas, suffisamment élevés pour assurer le succès de la plantation. La croissance des plants après dix ans est significativement supérieure dans les parcelles établies dans les PM par rapport à celles établies dans les DS. Ces différences pourraient être liées au niveau de perturbation supérieure des parcelles scarifiées des PM, lesquelles ont été récoltées avant le scarifiage. Cette hypothèse est aussi supportée lorsque les données des différentes préparations de terrain utilisées dans les DS sont comparées entre elles. Le scarifiage a permis d’obtenir les taux de survie et de croissance (hauteur et volume de la tige, biomasse aérienne et racinaire) les plus élevés dix ans après plantation comparativement aux deux autres traitements de plus faible niveau de perturbation, soit la taupe et la plantation directe. L’ensemble de ces résultats démontrent que les DS, principalement lorsque scarifiés, présentent un potentiel de croissance intéressant qui mérite une attention particulière.
par Marie-Claude Boileau | 30 janvier 2019
De 2000 à 2005, le ministère des Ressources naturelles et de la Faune du Québec a réalisé une étude sur l’efficacité de la norme de protection (50 m) des frayères indiquées dans les plans annuels d’intervention forestière (PAIF). L’objectif était de mesurer l’impact de la construction de ponceaux en milieu forestier sur la qualité de l’habitat de l’omble de fontaine.
par Audrey Verreault | 30 janvier 2019
Avis de recherche forestière n° 6
L’épinette de Norvège est reconnue pour sa productivité élevée en plantation. Toutefois, plusieurs utilisateurs se questionnent sur la qualité du bois provenant des sites affectés par le charançon du pin blanc. Et pourtant, les résultats de notre étude faite à partir de plantations d’une trentaine d’années s’avèrent étonnants… et plutôt rassurants dans bien des cas.