par Audrey Verreault | 30 janvier 2019
Avis de recherche forestière n° 5
Une étude réalisée par des chercheurs de la Direction de la recherche forestière (DRF) montre que le chaulage du sol d’une érablière dépérissante a un effet bénéfique à long terme sur la santé de l’érable à sucre. De plus, l’ampleur de la réaction des érsbles après dix ans laisse présager que l’effet se poursuivra encore plusieurs années. Ultimement, en revigorant ainsi les érables dépérissants, le chaulage pourrait permettre de conserver la représentativité de l’érable à sucre dans les érablières situées sur des sites acides et pauvres en calcium et en magnésium.
par equipewp | 30 janvier 2019
Cette étude a pour but de décrire la dynamique des populations de doré jaune (Stizostedion vitreum) et de grand brochet (Esox lucius) à l’aide des résultats des pêches expérimentales menées dans ce plan d’eau en 2003 et de diagnostiquer son évolution depuis 1992. Il est également important de vérifier si l’existence du Festival du doré Baie-James influence ou cause des impacts sur les populations de poissons
sportifs du lac Opémisca.
par equipewp | 30 janvier 2019
L’évolution récente du statut du pékan au Québec en terme de hausse des effectifs, et les causes possibles de ces changements font l’objet de cette étude réalisée dans le cadre d’une initiation à la recherche à l’université du Québec à Rimouski.
par Marie-Claude Boileau | 30 janvier 2019
Avis de recherche forestière n° 25
Les peuplements mixtes de peuplier faux-tremble et conifères abondent au Québec. Leur aménagement est problématique en raison du fort drageonnement du tremble à la suite de la coupe. Une étude amorcée en 1995 a montré qu’il est possible de réduire considérablement la régénération du tremble en n’ouvrant que partiellement le couvert d’un tel peuplement. Une analyse récente indique que les gains significatifs de croissance des tiges résiduelles s’ajoutent au bilan positif de cette approche sylvicole. Il ressort que l’ouverture du couvert a surtout stimulé la croissance des résineux des étages intermédiaire et opprimé. La coupe partielle apparaît donc comme un moyen de favoriser la fraction résineuse d’un peuplement mixte dominé par le tremble, et de limiter ainsi le phénomène d’enfeuillement.
par equipewp | 30 janvier 2019
Ce plan d’action est axé sur le développement de la filière énergétique utilisant la biomasse forestière.