par Audrey Verreault | 30 janvier 2019
Note de recherche forestière n° 52
Les résultats de fertilisation présentés dans ce rapport concernent 34 plantations de pin, d’épinette et de mélèze. Ces résultats sont présentés en tenant compte de la classe d’âge, du groupe textural et de la région écologique. Ils montrent que la fertilisation est un traitement efficace pour stimuler la croissance des arbres. Les arbres fertilisés avec les meilleurs traitements présentent, après 10 ans, des gains en accroissement en volume total de l’ordre de 25 % supérieurs aux arbres témoins. Les meilleurs traitements sont souvent obtenus avec l’application de 75 à 100 kg par ha d’azote avec ou sans 75 kg par ha de phosphore et de potassium.
par equipewp | 30 janvier 2019
L’histoire de vie et la dynamique de population des ongulés sont influencées par les effets combinés des facteurs intrinsèques et extrinsèques (Coulson et al. 2001; Gaillard et al. 2003). Dans ce rapport, nous avons utilisé des données récoltées pendant 25 ans sur deux troupeaux de caribous migrateurs du Québec-Labrador afin d’étudier les variations de la masse corporelle chez les faons.
par André Boily | 30 janvier 2019
Paru dans Progrès forestier. 179 (Octobre) : 34-36.
par Audrey Verreault | 30 janvier 2019
Note de recherche forestière n° 135
Le potentiel envahissant de l’épinette de Norvège (Picea abies [L.] Karst.) a été évalué dans 23 plantations situées au Québec et âgées de 30 à 80 ans. Des virées parallèles ont été réalisées à 6 distances, soit à -10, 0, 10, 20, 50 et 100 m de la bordure de la plantation et généralement pour 2 expositions (est et ouest). Chacune des virées comprenait généralement 10 placettes circulaires de 4 m2 distancées de 5 m. La régénération a été dénombrée par espèce dans chaque placette et les épinettes de Norvège de faible taille ont été identifiées à l’aide de marqueurs moléculaires. La probabilité de présence d’au moins un semis d’épinette de Norvège par placette de 4 m2 est de 13,3 % à l’intérieur de la plantation (-10 m) et de 8,4 % en bordure (0 m). Les probabilités à 10 et 20 m à l’extérieur de la plantation sont de 1,4 et 1,3 %, respectivement. Aucun semis d’épinette de Norvège n’a été retrouvé à 50 m, ni à 100 m des plantations inventoriées. La régénération en épinette comporte également des espèces indigènes, telles les épinettes blanche, noire ou rouge. Les probabilités que la régénération en épinette soit effectivement de l’épinette de Norvège sont de 90 % à l’intérieur de la plantation et de 62 % en bordure. À l’extérieur de la plantation, ces valeurs ne sont que de 13 et 18 %, respectivement à 10 et 20 m de la bordure. Par conséquent, la probabilité de présence d’épinette de Norvège de même que la proportion de semis d’épinette de Norvège par rapport à l’ensemble de la régénération en épinette diminuent rapidement en s’éloignant de la bordure des plantations. À la lumière de ces résultats, l’épinette de Norvège ne peut être désignée comme étant envahissante.
par Audrey Verreault | 30 janvier 2019
Note de recherche forestière n° 57
La fertilisation de cette plantation d’épinette noire a permis (jusqu’à maintenant) d’augmenter fortement la croissance des arbres et leur production de cônes et de graines. Les meilleurs traitements comprennent des applications répétées de 75 à 100 kg/ha d’azote, de phosphore et de potassium en 1987 et en 1989. Une troisième fertilisation a été réalisée en 1992. Les résultats actuels de cette étude montrent qu’il vaut mieux fertiliser les arbres à deux ou trois reprises plutôt que d’appliquer une forte dose d’engrais en un seul traitement.