par André Boily | 30 janvier 2019
Paru dans Progrès forestier 177(Juin) : 30-32.
Les plantes éricacées, reconnues pour leur beauté et prisées en horticulture, limitent la croissance des conifères sur certaines stations forestières. Les chercheurs ont mis à jour certaines des causes responsables de ces interférences et poursuivent leurs travaux pour mieux comprendre le phénomène.
par Marie-Claude Boileau | 30 janvier 2019
Note de recherche forestière n° 48
Au Québec, les règles concernant la régénération des forêts publiques sont dictées par le Manuel d’aménagement forestier. On y stipule qu’un exploitant doit faire en sorte d’obtenir, dans le nouveau peuplement, un coefficient de distribution de la régénération (CDR) au moins égal à celui des tiges marchandes du peuplement récolté (CDM). Cette exigence a pour but d’assurer le maintien à long terme de la production des peuplements. Elle est basée sur l’hypothèse voulant que le coefficient de distribution mesuré pendant la période de régénération demeure constant jusqu’à maturité. La présente étude remet en question cette hypothèse. Elle se penche, en outre, sur la précision que l’on obtient avec la placette-échantillon de 4 m2 actuellement utilisée pour les résineux. À cette fin, le CDR et le CDM ont été calculés pour huit différentes surfaces de placette, dans 33, 31 et 13 peuplements de pin gris, d’épinette noire et de sapin baumier respectivement, de volumes total et marchand connus. Dans le cas du pin gris, d’importantes gammes de qualité de station et de densité ont été échantillonnées. Parmi les placettes utilisées pour cette espèce, celle de 10,89 m2 s’est avérée optimale. Le gain de précision de celle-ci par rapport à celle de 4 m2 a toutefois été faible. En outre, un test de nullité sur la différence entre le CDR et le CDM d’un peuplement donné a permis de rejeter, pour des peuplements équiennes des trois espèces, l’hypothèse de la stabilité du coefficient de distribution (rejet de : CDR = CDM => production équivalente). Des équations permettant de déterminer le CDR nécessaire au maintien de la production des peuplements sont présentées dans ce rapport.
par equipewp | 30 janvier 2019
Ce rapport tente de prédire la probabilité de capture de ces deux espèces ainsi que leurs abondances respectives en fonction des habitats retrouvés dans la zone où sont effectuées les activités de contrôle de la rage du raton laveur dans le sud du Québec. L’intérêt principal de ces analyses est d’identifier les secteurs où ces espèces se concentrent afin d’optimiser les épandages d’appâts vaccinaux .