par Marie-Claude Boileau | 7 août 2023
On trouve 14 aires de confinement du cerf de Virginie dans les limites de l’unité d’aménagement (UA) 011-71, soit les ravages Grande-Rivière, Rivière-Bleue, Lac-de-l’Est, Lac-Pohénégamook, Rivière-de-l’Orient, Rivière-Owen, Lac-Biencourt, Lac-du-Pain-de-Sucre, Petit-lac-Lajoie, Ruisseau-Beazley, Ruisseau-Benedict, Ruisseau‑Lizotte, Ruisseau-Teed et Lac-Témiscouata. Ces habitats totalisent 23 114 ha, ce qui représente 7 % de la superficie de l’UA.
La caractérisation du potentiel d’utilisation de l’habitat par le cerf dans chacun des ravages montre que la proportion de peuplements offrant un potentiel d’abri répond à l’objectif régional dans les aires de confinement analysées. Le seuil minimal des peuplements à potentiel d’abri et de nourriture-abri est quant à eux dépassé, et ce, dans tous les ravages de l’UA 011-71. Seul l’habitat du Petit-lac-Lajoie se rapproche du seuil minimal. Cependant, certains ravages se retrouvent en faible superficie de nourriture, avec une proportion inférieure à 10 %.
Dans cette UA, les cerfs occupent principalement les ravages Lac-Pohénégamook, Grande-Rivière, Ruisseau-Lizotte, Biencourt, Lac-Témiscouata et Lac-du-Pain-de-Sucre. Il existe une variabilité dans la fréquentation de ces territoires.
Les objectifs d’aménagement pour ces ravages visent notamment à assurer l’entremêlement des peuplements d’abri et de nourriture, à maintenir des peuplements de nourriture-abri ainsi qu’à créer de la nourriture dans les ravages en déficit de nourriture et où le cerf est abondant.
par Claire Morin | 4 août 2023
La gestion des populations de touladis (truite grise) au Québec est balisée par un plan de gestion depuis 2014. Depuis 2002, seuls les poissons ayant des tailles de plus de 55 cm peuvent être conservés au lac Lynch, et ce, afin d’assurer la reproduction de l’espèce. Dans l’objectif de suivre l’état de santé de la population de touladis au lac Lynch, le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP) y réalise des inventaires normalisés régulièrement. Le dernier inventaire a été réalisé dans la semaine du 5 septembre 2018 par la pose de 16 filets maillants dans l’habitat du touladi. Les inventaires précédents ont été réalisés dans les semaines du 8 août 1995, 18 septembre 2006 et 10 septembre 2013. Ce bilan a pour but de présenter les principaux résultats de ces inventaires et les tendances qui s’en dégagent.
par Claire Morin | 4 août 2023
La gestion des populations de touladis (truite grise) au Québec est balisée par un plan de gestion depuis 2014[1]. La pêche hivernale à toutes les espèces est d’ailleurs interdite depuis l’entrée en vigueur de ce plan de gestion. Depuis 2002, seuls les poissons de plus de 55 cm peuvent être conservés au lac Dumont, et ce, afin d’assurer la reproduction de l’espèce. Dans l’objectif de suivre l’état de santé de la population de touladis au lac Dumont, le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP) y réalise des inventaires normalisés[2] sur une base régulière. Le dernier inventaire a été réalisé du 20 au 24 septembre 2021 par la pose de 18 filets maillants dans l’habitat du touladi. Ce bilan a pour but de présenter les principaux résultats de cet inventaire et les tendances qui s’en dégagent.
[1] Plan de gestion du touladi 2014-2024
[2] Guide de normalisation des méthodes d’inventaire ichtyologique en eaux intérieures – Tome 1 – Acquisition de données
par Claire Morin | 4 août 2023
Les contenus stomacaux examinés dans le cadre de ce rapport proviennent des poissons prélevés durant le Réseau de suivi ichtyologique du fleuve Saint-Laurent (RSI). Cet ouvrage fait état des résultats obtenus lors de la campagne d’échantillonnage réalisée en 2022 dans le lac Saint-François. Un total de 684 contenus stomacaux ont été examinés chez 6 espèces de poissons : le grand brochet (Esox lucius), le maskinongé (Esox masquinongy), l’achigan à petite bouche (Micropterus dolomieu), l’achigan à grande bouche (Micropterus salmoides), la perchaude (Perca flavescens) et le doré jaune (Sander vitreus).
par Svetlana Savin | 27 juillet 2023
Les objectifs de protection et de mise en valeur (OPMV) des ressources du milieu forestier ont été définis à la suite d’une vaste consultation publique menée en 2003 par le Ministère auprès d’organismes nationaux et régionaux ainsi que des communautés autochtones. Ils ont été remplacés en 2013 par l’approche de l’aménagement écosystémique.
Pour aider les titulaires d’un permis d’intervention en forêt publique à intégrer les OPMV dans les plans généraux d’aménagement forestier, le Ministère avait rendu accessibles les documents ci-dessous, classés en fonction des critères québécois de l’aménagement durable et des OPMV.