par Marie-Claude Boileau | 12 décembre 2023
Des bulletins régionaux sont également produits chaque année à l’attention des piégeurs. Ces documents dressent un état de la situation de la dernière saison de piégeage dans chaque région administrative du Québec.
Vous pouvez également consulter les bilans d’exploitation des animaux à fourrure.
par Marie-Claude Boileau | 12 décembre 2023
Des bulletins régionaux sont également produits chaque année à l’attention des piégeurs. Ces documents dressent un état de la situation de la dernière saison de piégeage dans chaque région administrative du Québec.
Vous pouvez également consulter les bilans d’exploitation des animaux à fourrure.
par Audrey Verreault | 11 décembre 2023
Avis de recherche forestière no 182
Pourquoi étudier les vers de terre dans les écosystèmes nordiques? Parce qu’une meilleure connaissance de la répartition de ces organismes exotiques peut aider à comprendre les changements probables sur le cycle des nutriments et du carbone, la biodiversité et la dynamique des écosystèmes qu’ils ont colonisés. Un premier recensement de vers de terre exotiques dans la forêt boréale et la taïga du Québec et du Canada révèle que la portion des écosystèmes propices à la présence ou à la colonisation par les vers de terre exotiques est plus grande qu’on le croyait auparavant.
par Audrey Verreault | 8 décembre 2023
La Direction des inventaires forestiers (DIF) réalise depuis 2014 une étude d’envergure dans le but de produire des taux de carie du sapin baumier, de l’épinette blanche, de l’épinette noire et du pin gris dans les domaines bioclimatiques de la sapinière à bouleau jaune, de la sapinière à bouleau à papier et de la pessière à mousses. Il a été décidé de prioriser le calcul des taux de carie pour cinq régions forestières. Ainsi, les taux de carie des essences résineuses des régions du Saguenay–Lac-Saint-Jean, de la Capitale-Nationale, de l’Abitibi-Témiscamingue, de la Côte-Nord et du Nord-du-Québec ont été produits.
Le présent document s’adresse à ceux et celles qui ont à réaliser des activités nécessitant l’utilisation des taux de carie. Il explique le matériel, la méthode ainsi que le traitement et l’analyse des données menant à la production des résultats.
par Marie-Claude Boileau | 8 décembre 2023
Afin de mieux documenter la propagation de la truite arc-en-ciel dans les rivières de l’est du Québec, le Ministère a mis sur pied en 2010 un suivi des captures basé sur la déclaration volontaire des pêcheurs sportifs. En cinq ans, ce suivi a permis d’enregistrer tout près de 450 truites arc-en-ciel provenant d’une trentaine de rivières, auxquelles s’ajoutent 410 observations et captures réalisées lors de l’opération des passes migratoires, des décomptes en apnée et des inventaires menés par le personnel du Ministère.
Après une pause d’un an en 2015, le suivi annuel des captures de truite arc-en-ciel est de retour. Lors de votre pêche, si vous capturez un spécimen de truite arc-en-ciel, déclarez-la dans l’une des stations d’enregistrement qui ont été mises en place dans la plupart des postes d’accueil des rivières à saumon et dans certains bureaux du Ministère.
Rappelons que le suivi annuel des captures de truite arc-en-ciel permet de mieux documenter l’évolution de la dispersion de cette espèce non indigène dans les rivières de l’est de la province et qu’il cible spécifiquement cinq régions du Québec : Bas-Saint-Laurent, Gaspésie, Capitale-Nationale (à l’est de la rivière Sainte-Anne), Saguenay–Lac-Saint-Jean et Côte-Nord.