À la suite de la nomination du nouveau conseil des ministres, le Secteur des forêts relève désormais du ministère des Ressources naturelles et des Forêts alors que les secteurs de la faune et des parcs relèvent du ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs. Les ajustements requis seront apportés progressivement au site Web.
Ce rapport présente les données, l’analyse et les méthodes qui ont conduit à la définition des strates d’échantillonnage et à l’allocation des placettes-échantillons temporaires (PET) de l’unité de sondage 04NCN du 5e inventaire écoforestier du Québec méridional.
Ce rapport présente les données, l’analyse et les méthodes qui ont conduit à la définition des strates d’échantillonnage et à l’allocation des placettes-échantillons temporaires (PET) de l’unité de sondage 05SE du 5e inventaire écoforestier du Québec méridional.
Bilan des principales activités de surveillance de la santé de la faune réalisées en 2010, dans le cadre de la mise en œuvre de la Stratégie québécoise sur la santé des animaux sauvages.
Paru dans The Forestry Chronicle 99(2). https://doi.org//10.5558/tfc2023-014
La demande croissante des produits confectionnés à partir de la sève d’érable amène à revoir les objectifs de production pour certains peuplements qui étaient jusqu’à présents destinés à une production prioritaire de bois d’œuvre d’érable à sucre (Acer saccharum Marshall). Il est donc pertinent d’estimer les impacts que la production acéricole pourrait avoir sur la production de bois d’œuvre d’érable à sucre. Nous avons d’abord mis au point un modèle permettant de prévoir la perte de bois d’œuvre dans un érable à sucre causée par l’entaillage pour la collecte de la sève. Nous avons ensuite utilisé ce modèle pour simuler deux scénarios d’aménagement : un pour la production de bois d’œuvre seule et un pour la coproduction de bois et de sève dans un même peuplement. Les résultats obtenus suggèrent que le volume net de bois d’œuvre récolté d’érable à sucre est diminué d’environ 40 % dans le scénario de co-production comparativement au scénario de production de bois.
Publié dans The Forestry Chronicle 99(2). https://doi.org/10.5558/tfc2023-019
Réaliser un diagnostic sylvicole complet en vue d’un traitement sylvicole requiert généralement que l’état de la régénération soit évalué à l’aide d’un inventaire par échantillonnage, particulièrement pour les peuplements dominés par l’érable à sucre (Acer saccharum Marsh.) ou le bouleau jaune (Betula alleghaniensis Britt.), dans lesquels les coupes partielles sont préconisées. Cet inventaire peut ensuite être comparé à une norme ou être utilisé dans un modèle de croissance des gaules (arbres dont le diamètre mesuré à 1,3 m du sol (DHP) varie de 1,1 à 9,0 cm). Certains de ces outils utilisent la densité des gaules, tandis que d’autres s’appuient sur leur coefficient de distribution ou sur celui de toute la régénération (ce qui regroupe les gaules et les semis dont le DHP est ≤ 1,0 cm). Nous avons évalué le nombre de placettes requises afin d’estimer la densité et le coefficient de distribution des gaules avec une marge d’erreur donnée dans 28 peuplements. Les résultats démontrent qu’il faut plus de placettes que ce qui est habituellement rencontré dans lapratique pour inventorier la densité des gaules. Par contre, le coefficient de distribution est beaucoup plus facile à estimer avec précision.
