par Claire Morin | 6 mars 2025
Ce document présente les résultats d’un inventaire de l’ours noir (Ursus americanus) réalisé en 2022 dans la pessière à mousses au Saguenay–Lac-Saint-Jean, dans un secteur d’environ 400 km2 situé à l’est du lac Péribonka. La technique d’inventaire utilisée est celle de capture-marquage-recapture avec reconnaissance individuelle par génotypage des poils. Nous assumons que les oursons de l’année n’ont pas été échantillonnés par le dispositif utilisé.
Toutes les étapes de l’inventaire ont été réalisées avec succès. Quatre-vingt-dix pour cent (45/50) des stations de collecte de poils ont été visitées par un ours au moins une fois au cours des cinq semaines de l’inventaire. Les analyses génétiques ont permis de déterminer que 26 mâles et 15 femelles (41 génotypes) ont visité au moins une fois une des stations. Les ours ont été capturés d’une à quatorze fois chacun, et la plupart des recaptures ont eu lieu dans une station voisine située à moins de 5 km de la station où est survenue la capture initiale.
Nous avons estimé la densité dans le secteur d’étude à 0,52 ours d’un an ou plus par 10 km2 à l’aide de modèles spatialement explicites (intervalle de confiance [IC] à 90 % = 0,36 à 0,68, précision = 31 %).
par Claire Morin | 6 mars 2025
Ce document présente les résultats d’un inventaire de l’ours noir (Ursus americanus) réalisé en 2023 dans la sapinière à bouleau blanc en Gaspésie dans un secteur d’environ 1350 km2 situé à l’est de Murdochville. La technique d’inventaire utilisée est celle de capture-marquage-recapture avec reconnaissance individuelle par génotypage des poils. Nous assumons que les oursons de l’année n’ont pas été échantillonnés par le dispositif utilisé.
Toutes les étapes de l’inventaire ont été réalisées avec succès. Soixante-dix pour cent (70/100) des stations de collecte de poils ont été visitées par un ours au moins une fois au cours des cinq semaines de l’inventaire. Les analyses génétiques ont permis de déterminer que 37 mâles et 48 femelles (85 génotypes) ont visité au moins une fois une des stations. Les ours ont été capturés d’une à quatorze fois chacun, et la plupart des recaptures ont eu lieu dans une station voisine située à moins de 5 km de la station où est survenue la capture initiale.
Nous avons estimé la densité dans le secteur d’étude à 0,86 ours d’un an ou plus par 10 km2 à l’aide de modèles spatialement explicites (intervalle de confiance [IC] à 90 % = 0,69 à 1,02, précision = 19 %).
par Claire Morin | 6 mars 2025
Ce document présente les résultats d’un inventaire de l’ours noir (Ursus americanus) réalisé en 2022 dans l’érablière à bouleau jaune en Outaouais, dans un secteur d’environ 760 km2 situé au nord de la municipalité d’Otter Lake. La technique d’inventaire utilisée est celle de capture-marquage-recapture avec reconnaissance individuelle par génotypage des poils. Nous assumons que les oursons de l’année n’ont pas été échantillonnés par le dispositif utilisé.
Toutes les étapes de l’inventaire ont été réalisées avec succès. Soixante-dix-sept pour cent (77/100) des stations de collecte de poils ont été visitées par un ours au moins une fois au cours des cinq semaines de l’inventaire. Les analyses génétiques ont permis de déterminer que 57 mâles et 58 femelles (115 génotypes) ont visité au moins une fois une des stations. Les ours ont été capturés d’une à treize fois chacun, et la plupart des recaptures ont eu lieu dans une station voisine située à moins de 5 km de la station où est survenue la capture initiale.
Nous avons estimé la densité dans le secteur d’étude à 2,63 ours d’un an ou plus par 10 km2 à l’aide de modèles spatialement explicites (intervalle de confiance [IC] à 90 % = 1,85 à 3,40, précision = 29 %).
par Claire Morin | 6 mars 2025
Ce document présente les résultats d’un inventaire de l’ours noir (Ursus americanus) réalisé en 2022 dans la pessière à mousses au Saguenay–Lac-Saint-Jean dans un secteur d’environ 850 km2 situé à l’ouest du lac Péribonka. La technique d’inventaire utilisée est celle de capture-marquage-recapture avec reconnaissance individuelle par génotypage des poils. Nous assumons que les oursons de l’année n’ont pas été échantillonnés par le dispositif utilisé.
Toutes les étapes de l’inventaire ont été réalisées avec succès. Soixante-quatorze pour cent (37/50) des stations de collecte de poils ont été visitées par un ours au moins une fois au cours des cinq semaines de l’inventaire. Les analyses génétiques ont permis de déterminer que 24 mâles et 9 femelles (33 génotypes) ont visité au moins une fois une des stations. Les ours ont été capturés d’une à dix-neuf fois chacun, et la plupart des recaptures ont eu lieu dans une station voisine située à moins de 5 km de la station où est survenue la capture initiale.
Nous avons estimé la densité dans le secteur d’étude à 0,28 ours d’un an ou plus par 10 km2 à l’aide de modèles spatialement explicites (intervalle de confiance [IC] à 90 % = 0,18 à 0,38, précision = 36 %).
par Claire Morin | 6 mars 2025
Ce document présente les résultats d’un inventaire de l’ours noir (Ursus americanus) réalisé en 2022 dans la sapinière à bouleau jaune en Mauricie, dans un secteur d’environ 975 km2 situé au sud-ouest de La Tuque (Rivière-aux-Rats). La technique d’inventaire utilisée est celle de capture-marquage-recapture avec reconnaissance individuelle par génotypage des poils. Nous assumons que les oursons de l’année n’ont pas été échantillonnés par le dispositif utilisé.
Toutes les étapes de l’inventaire ont été réalisées avec succès. Soixante-cinq pour cent (65/100) des stations de collecte de poils ont été visitées par un ours au moins une fois au cours des cinq semaines de l’inventaire. Les analyses génétiques ont permis de déterminer que 59 mâles et 40 femelles (99 génotypes) ont visité au moins une fois une des stations. Les ours ont été capturés d’une à onze fois chacun, et la plupart des recaptures ont eu lieu dans une station voisine située à moins de 5 km de la station où est survenue la capture initiale.
Nous avons estimé la densité dans le secteur d’étude à 1,92 ours d’un an ou plus par 10 km2 à l’aide de modèles spatialement explicites (intervalle de confiance [IC] à 90 % = 1,51 à 2,45, précision = 24 %).