par Claire Morin | 27 avril 2023
La gestion des populations de dorés au Québec est balisée par un plan de gestion depuis 2011. Depuis 2022, seuls les dorés jaunes ayant une taille de 32 à 47 cm peuvent être conservés au lac Anwatan, et ce, afin d’assurer la reproduction de l’espèce et améliorer la qualité de pêche. Avant la mise en place de cette modalité, une taille minimale de 32 cm était en vigueur depuis 1999. Dans l’objectif de déterminer l’état de santé de la population de dorés jaunes au lac Anwatan, le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la faune et des Parcs (MELCCFP) a réalisé un inventaire normalisé. Celui-ci a été effectué sur deux ans, soit en août et septembre 2020 et 2021 par la pose de 12 filets maillants dans l’habitat du doré. En raison de leur connectivité, l’inventaire regroupe les lacs Wekwâbîyak, Anwatan et Nânwatinok. Pour ce bilan, le lac Anwatan regroupe les trois plans d’eaux. Ce bilan a pour but de présenter les principaux résultats de cet inventaire et les tendances qui s’en dégagent. À des fins de comparaison, les résultats de l’inventaire réalisé en 2018 et 2019 au lac Carrière (18 filets), un lac également situé dans la réserve faunique La Vérendrye et dont la population est en santé, seront présentés.
Le lac Anwatan est situé à l’intérieur de la zone de pêche 13 ouest. Sur ce territoire, la gestion de la chasse et de la pêche a été déléguée à la Société des établissements de plein air du Québec (SEPAQ). Il fait partie du territoire non organisé Réservoir-Dozois, situé dans la MRC de La Vallée-de-l’Or. La superficie du plan d’eau est de 475 ha et sa profondeur maximale est de 32 m
par Claire Morin | 21 avril 2023
La gestion des populations de dorés au Québec est balisée par un plan de gestion depuis 2011. Depuis 2016, seuls les dorés jaunes ayant une taille de 32 à 47 cm peuvent être conservés au lac Joannès, et ce, afin d’assurer la reproduction de l’espèce. Avant la mise en place de cette modalité, une taille minimale de 32 cm était en vigueur depuis 1999. Dans l’objectif de suivre l’état de santé de la population des dorés jaunes au lac Joannès, le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatique, de la Faune et des Parcs (MELCCFP) y réalise des inventaires normalisés. Le dernier inventaire a été effectué en septembre 2022 par la pose de 12 filets maillants dans l’habitat du doré. L’inventaire nommé 2011 a été réalisé sur deux années par la pose de six filets par année. Ce bilan a pour but de présenter les principaux résultats de ces inventaires et les tendances qui s’en dégagent.
par Claire Morin | 21 avril 2023
La Direction de la gestion de la faune du Bas-Saint-Laurent a réalisé un inventaire aérien de l’orignal dans la Zec Bas-Saint-Laurent à l’hiver 2021. Cet inventaire s’est déroulé du 18 au 23 février 2021 et avait pour objectif de déterminer la taille de la population hivernale d’orignaux et les principaux paramètres démographiques des effectifs.
par Claire Morin | 12 avril 2023
La gestion des populations de dorés au Québec est balisée par un plan de gestion depuis 2011. Depuis 2016, seuls les dorés jaunes ayant une taille de 32 à 47 cm peuvent être conservés au lac Vaudray, et ce, afin d’assurer la reproduction de l’espèce. Avant la mise en place de cette modalité, une taille minimale de 32 cm était en vigueur depuis 1999. Dans l’objectif de suivre l’état de santé de la population de dorés jaunes au lac Vaudray, le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP) y réalise des inventaires normalisés. Le dernier inventaire a été effectué en septembre 2022 par la pose de 14 filets maillants dans l’habitat du doré. L’inventaire nommé 2011 a été réalisé sur deux années par la pose de 7 filets par année. Ce bilan a pour but de présenter les principaux résultats de ces inventaires et les tendances qui s’en dégagent.
par Audrey Verreault | 6 avril 2023
Paru dans The Forestry Chronicle 99(2): 1-16
Depuis le milieu des années 1990, des coupes partielles sont utilisées de manière généralisée dans les bétulaies jaunes résineuses (BJR) de la forêt tempérée du Québec. Nous avons étudié l’effet de la surface terrière résiduelle sur la composition du peuplement et sur le temps nécessaire pour reconstituer une surface terrière marchande permettant généralement de réaliser une seconde coupe partielle selon les standards habituels de l’aménagement forestier au Québec. Pour ce faire, nous avons utilisé un jeu de données rassemblant 9 dispositifs expérimentaux ainsi que les simulations du modèle de croissance Artémis-2014 et d’un nouveau modèle, le modèle BJR, que nous avons étalonné à l’aide des données de l’étude. Nos résultats montrent que la surface terrière résiduelle influence l’accroissement annuel périodique des peuplements, lequel est maximal de 10 à 15 ans après la coupe. La surface terrière résiduelle influence aussi le temps de rotation et la composition du peuplement futur. Nous avons estimé un temps de rotation moyen de 24 ans pour une surface terrière résiduelle moyenne de 18 m2·ha-1, puis de 40 ans pour une surface terrière résiduelle moyenne de 14 m2·ha-1. Pour ce dernier, nos résultats indiquent également que des essences opportunistes de moindre valeur commerciale, comme l’érable rouge, pourraient devenir plus abondantes.