par Audrey Verreault | 8 août 2024
Ce guide présente comment télécharger les images aériennes de l’inventaire écoforestier, qui correspond à une collection annuelle d’orthophotographies acquises par survol aérien dans le but de répondre aux besoins de l’inventaire écoforestier du Québec méridional (IEQM). Ces images sont assemblées en mosaïques et se répartissent sur la quasi-totalité du territoire au sud du 52e parallèle.
par Claire Morin | 31 juillet 2024
La gestion des populations de touladis (truites grises) au Québec est balisée par un plan de gestion depuis 2014. De 1993 à 2001, une gamme de taille protégée de 35 à 50 cm de longueur à la fourche était appliquée. De 2002 à 2013, cette modalité a été remplacée par une taille minimale de 45 cm de longueur totale. Depuis la mise en œuvre du plan de gestion en 2014, seuls les poissons mesurant 55 cm ou plus peuvent être conservés aux lacs Tee et du Moulin, dans le but d’assurer la reproduction de l’espèce. Dans l’objectif de suivre l’état de santé de la population de touladis aux lacs Tee et du Moulin, le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP) y réalise des inventaires normalisés tous les 10 ans. Le dernier inventaire a été réalisé les 15 et 16 août 2022 par la pose de 13 filets maillants dans l’habitat du touladi. Lors des inventaires de 2002 et 2012, 10 et 14 filets ont été posés, respectivement. De plus, aucun filet n’a été posé au lac du Moulin en 2002. Pour les besoins de ce bilan, les deux plans d’eau seront jumelés puisqu’il s’agit possiblement d’une seule et même population de touladis. Ce bilan a pour but de présenter les principaux résultats de cet inventaire et les tendances qui s’en dégagent.
par Claire Morin | 31 juillet 2024
La gestion des populations de touladis (truites grises) au Québec est balisée par un plan de gestion depuis 2014. Depuis sa mise en œuvre, il est interdit de conserver un touladi au lac Denain, et ce, afin d’assurer la reproduction et le rétablissement de l’espèce. En effet, un inventaire réalisé par le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP) en 2000 a révélé que la population de touladis du lac Denain était en grande difficulté. Depuis 2011, le plan d’eau fait l’objet d’ensemencements de repeuplement conformément au plan de gestion du touladi. Dans l’objectif de suivre l’état de santé de la population de touladis au lac Denain, le MELCCFP réalise des inventaires normalisés. Le dernier inventaire a été réalisé les 20 et 21 août 2018 par la pose de 10 filets maillants dans l’habitat du touladi. Ce bilan a pour but de présenter les principaux résultats de ces inventaires et les tendances qui s’en dégagent.
par Claire Morin | 31 juillet 2024
Au lac Saint-Patrice, plusieurs modes de gestion ont été en vigueur pour encadrer la pêche sportive au touladi (truite grise) depuis la création de la zec Saint-Patrice. De 1980 à 1990, un contingent annuel (quota) variant entre 809 et 1 139 touladis était appliqué. Ce quota a été abandonné en 1991 au profit d’une saison restreinte d’un mois jusqu’en 2006, où la saison de pêche au touladi a été prolongée d’un mois supplémentaire. Dans la zec Saint-Patrice, aucune taille réglementaire n’est appliquée pour le touladi. Dans l’objectif de suivre l’état de santé de la population de touladis au lac Saint-Patrice, le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs y réalise des inventaires normalisés1 tous les 10 ans. Les deux premiers inventaires ont eu lieu en 1999 et 2011. Dans ces deux inventaires, des filets additionnels avaient également été posés pour augmenter le nombre de poissons capturés et permettre le calcul de certains indicateurs populationnels (26 en 1999 et 17 en 2011).
Le dernier inventaire a été réalisé du 13 au 15 septembre 2021 par la pose de 29 filets maillants dans l’habitat du touladi. Ce bilan a pour but de présenter les principaux résultats de ces inventaires et les tendances qui s’en dégagent.
par Marie-Claude Boileau | 29 juillet 2024
Avis de recherche forestière no 193
Au Québec, dans la forêt boréale aménagée, la remise en production des pessières à lichens est possible en combinant scarifiage et plantation. Les changements climatiques risquent d’augmenter les superficies brûlées et ainsi, d’accroître le nombre d’accidents de régénération créant des superficies improductives. Il devient donc nécessaire de trouver des options moins coûteuses pour remettre en production ces peuplements. L’ensemencement naturel après scarifiage pourrait-il être une solution de remplacement?